Quatrième de couverture
Mille regrets : une femme réfugiée à Nice pendant la guerre glisse dans la misère, les privations et, pour finir, la mort. Henri Castellat, c'est le portrait d'un homme lâche : en amour, en politique, en tout. Le destin personnel raconte un drame, à la campagne, sous l'Occupation, un drame qui démasque la fausse apparence du bonheur. La belle épicière, mariée à un homme-serpent, va se perdre dans les amours de quartier, puis tomber dans la prostitution et trouver une mort tragique. Ces quatre nouvelles peignent le monde d'avant-guerre, de la guerre et des débuts de l'Occupation. Elles en restituent miraculeusement le climat social et sentimental, tout ce qui fait l'air du temps.
Mille regrets : une femme réfugiée à Nice pendant la guerre glisse dans la misère, les privations et, pour finir, la mort. Henri Castellat, c'est le portrait d'un homme lâche : en amour, en politique, en tout. Le destin personnel raconte un drame, à la campagne, sous l'Occupation, un drame qui démasque la fausse apparence du bonheur. La belle épicière, mariée à un homme-serpent, va se perdre dans les amours de quartier, puis tomber dans la prostitution et trouver une mort tragique. Ces quatre nouvelles peignent le monde d'avant-guerre, de la guerre et des débuts de l'Occupation. Elles en restituent miraculeusement le climat social et sentimental, tout ce qui fait l'air du temps.
Mon avis
Avant tout je tiens à remercier les Editions Denoël pour ce partenariat. J’ai pris un risque en choisissant cet ouvrage, car
je ne suis absolument pas friande de recueil de nouvelles. Mais il est
considéré comme un classique, alors je me suis dit pourquoi pas. Et au final,
j’ai plutôt bien fait.
Ma nouvelle préférée reste la
première « Mille regrets ». Toutes les quatre sont assez tragiques et
dépeignent la société d’avant, pendant et après la Guerre et trouvent souvent
une fin assez dure. Si j’ai préféré Mille regrets aux autres c’est sans doute
parce que c’est celle dans laquelle je suis entrée le plus facilement. Et je me
suis totalement laissé surprendre par la fin, que je n’avais pas vu venir.
C’est également celle qui m’a permis de découvrir l’écriture et le style de
l’auteur et probablement que l’attrait de nouveauté y est pour beaucoup. J’ai apprécié cette plume assez noire, qui a certains passages assez lents, mais qui collent bien avec le sujet traité. Je craque également sur cette couverture rouge pétant, qui ne manque pas d’attirer l’œil. L’ouvrage est de très bonne qualité, mais malheureusement un peu rigide (si on déteste casser la tranche comme moi, ça peut poser problème lors de la lecture).
J’ai tenté cette lecture de recueil de nouvelles surtout parce qu’il s’agit d’un classique et j’en ressors plutôt contente. Je garde surtout en mémoire Mille Regrets, qui m’a beaucoup surprise. Si vous aimez les nouvelles et que vous aimez les histoires qui touchent à la guerre, ce recueil peut vous plaire.
Bonne lecture
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